ルモンドさんのインスタグラム写真 - (ルモンドInstagram)「Au soir du premier tour des élections municipales, le 15 mars, Gérard Collomb, qui briguait la métropole du Grand Lyon, est arrivé en quatrième position. Derrière les Verts, la droite, et son ancien bras droit, David Kimelfeld, président de la métropole (LRM) sortant, parti en dissident. Même dans son fief du 9e arrondissement, le maire a été largement devancé par son adversaire écologiste, Camille Augey, 28 ans. Un désaveu cinglant pour celui qui, en vingt ans, a métamorphosé la ville et contribué à faire de cette métropole de 1,5 million d’habitants et 59 communes, créée en 2015, l’une des plus puissantes de France. Gérard Collomb, qui s’est muré dans le silence pendant le confinement, a encaissé l’affront. Avant de tenter une ultime manœuvre pour le second tour, en s’alliant avec la droite, qu’il a toujours combattue. Le 28 mai, l’ancien ministre de l’intérieur a dévoilé un accord surprise avec le président Les Républicains (LR) de la région Auvergne-Rhône-Alpes, Laurent Wauquiez : il renonce à briguer la présidence du Grand Lyon au profit du sénateur LR François-Noël Buffet, tandis que le candidat LR à la mairie, Etienne Blanc, s’efface derrière le poulain du maire de Lyon, l’ancien gymnaste Yann Cucherat. Destiné à barrer la route à ses anciens alliés de la gauche plurielle, avec lesquels il gouverne pourtant depuis 2001, l’accord a suscité l’indignation, à Lyon ou à Paris. « Une ligne rouge a été franchie », a jugé le patron de LRM, Stanislas Guerini, qui lui a aussitôt retiré l’investiture. - Le maire de Lyon, Gérard Collomb, après avoir voté au premier tour des élections municipales, le 15 mars. Photo : Bruno Amsellem (@brunoamsellem) / Divergence (@divergenceimages) #PourLeMonde - #Lyon #GerardCollomb #LRM」6月13日 6時16分 - lemondefr

ルモンドのインスタグラム(lemondefr) - 6月13日 06時16分


Au soir du premier tour des élections municipales, le 15 mars, Gérard Collomb, qui briguait la métropole du Grand Lyon, est arrivé en quatrième position. Derrière les Verts, la droite, et son ancien bras droit, David Kimelfeld, président de la métropole (LRM) sortant, parti en dissident. Même dans son fief du 9e arrondissement, le maire a été largement devancé par son adversaire écologiste, Camille Augey, 28 ans. Un désaveu cinglant pour celui qui, en vingt ans, a métamorphosé la ville et contribué à faire de cette métropole de 1,5 million d’habitants et 59 communes, créée en 2015, l’une des plus puissantes de France.
Gérard Collomb, qui s’est muré dans le silence pendant le confinement, a encaissé l’affront. Avant de tenter une ultime manœuvre pour le second tour, en s’alliant avec la droite, qu’il a toujours combattue. Le 28 mai, l’ancien ministre de l’intérieur a dévoilé un accord surprise avec le président Les Républicains (LR) de la région Auvergne-Rhône-Alpes, Laurent Wauquiez : il renonce à briguer la présidence du Grand Lyon au profit du sénateur LR François-Noël Buffet, tandis que le candidat LR à la mairie, Etienne Blanc, s’efface derrière le poulain du maire de Lyon, l’ancien gymnaste Yann Cucherat.
Destiné à barrer la route à ses anciens alliés de la gauche plurielle, avec lesquels il gouverne pourtant depuis 2001, l’accord a suscité l’indignation, à Lyon ou à Paris. « Une ligne rouge a été franchie », a jugé le patron de LRM, Stanislas Guerini, qui lui a aussitôt retiré l’investiture.
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Le maire de Lyon, Gérard Collomb, après avoir voté au premier tour des élections municipales, le 15 mars. Photo : Bruno Amsellem (@brunoamsellem) / Divergence (@divergenceimages) #PourLeMonde
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2020/6/13

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