ルモンドのインスタグラム(lemondefr) - 1月20日 01時07分
C’est le dossier le plus délicat de l’administration menée par le président sud-africain Cyril Ramaphosa : une nouvelle réforme de la propriété terrienne devrait entrer en vigueur en 2019. Fondé sur l’idée qu’était venu le temps des réparations historiques, et prévoyant de recourir à des expropriations sans compensation, cette reforme enthousiasme et effraie, tout à la fois, l’Afrique du Sud.
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1 : Samuel Mgobe sur le petit terrain qui lui a été attribué dans le village de Salubindza. Il tire peu de bénéfices de ses cultures, en raison des orages et des sécheresses.
2 : Vus du ciel, des champs de canne à sucre de Charles Senekal, proches de Mkuze. Il est le plus grand producteur de canne à sucre d’Afrique du Sud.
3 : Les petits fermiers soutenus par AgriSa, un syndicat agricole de gros fermiers, après leur réunion avec Jeffrey Mthombothi, le responsable local.
4 : Le fermier John Rankin, à Gerdau, possède 2000 ha de terres.
5 : Ces tombes, initialement creusées sur le site minier d’Ivanohe Platinium à Magongoa (Limpopo), ont été déplacées à l’extérieur. Des activistes contestent l’utilisation de terres ancestrales par la société minière.
6 : L’un des employés de Jimmy Botha, le seul Noir de la région à être à la tête d’une exploitation.
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Photos : Jerome Delay (@jeromedelay) / AP (@apnews) #PourLeMonde
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2019/1/20