ルモンドさんのインスタグラム写真 - (ルモンドInstagram)「« Je ne suis qu’une image » pourrait être la devise de l’exposition d’Alain Fleischer. Elle est répartie en deux galeries de part et d’autre de la grande halle du Centquatre-Paris, jusqu’au 6 décembre, et déploie dans celle-ci une ligne de vieux meubles reliés entre eux par un tuyau où passent des sons et des images que l’on ne voit pas. C’est une sorte de rétrospective, depuis ses premières créations de la fin des années 1960 jusqu’à aujourd’hui. Elle réunit des photographies argentiques et numériques, des vidéos et des installations. Pourtant, si abondante soit-elle, elle ne présente qu’une partie des travaux de Fleischer, qui compte tout autant pour son œuvre cinématographique – Les Rendez-vous en forêt en 1971, Zoo zéro en 1977, des dizaines de documentaires – et littéraire – La Femme qui avait deux bouches (Seuil, 1999), Les Trapézistes et le Rat (Seuil, 2001) et une cinquantaine d’autres ouvrages. Cet homme infatigable est un des créateurs majeurs d’aujourd’hui.⁣ Les images, donc, ces leurres charmants et dangereux. La démonstration de leur fausseté s’accomplit selon de nombreux procédés.  Chaque fois, le piège fonctionne : le regard est pris, l’incertitude gagne, les hypothèses prolifèrent sans que l’on soit plus sûr de rien. Chaque fois, le piège fonctionne : le regard est pris, l’incertitude gagne, les hypothèses prolifèrent sans que l’on soit plus sûr de rien.⁣ -⁣ « La Traversée des apparences » (1987), Alain Fleischer.⁣ Photos : Alain Fleischer.⁣ -⁣ #culture #art #illusion #optique」10月22日 5時36分 - lemondefr

ルモンドのインスタグラム(lemondefr) - 10月22日 05時36分


« Je ne suis qu’une image » pourrait être la devise de l’exposition d’Alain Fleischer. Elle est répartie en deux galeries de part et d’autre de la grande halle du Centquatre-Paris, jusqu’au 6 décembre, et déploie dans celle-ci une ligne de vieux meubles reliés entre eux par un tuyau où passent des sons et des images que l’on ne voit pas. C’est une sorte de rétrospective, depuis ses premières créations de la fin des années 1960 jusqu’à aujourd’hui. Elle réunit des photographies argentiques et numériques, des vidéos et des installations. Pourtant, si abondante soit-elle, elle ne présente qu’une partie des travaux de Fleischer, qui compte tout autant pour son œuvre cinématographique – Les Rendez-vous en forêt en 1971, Zoo zéro en 1977, des dizaines de documentaires – et littéraire – La Femme qui avait deux bouches (Seuil, 1999), Les Trapézistes et le Rat (Seuil, 2001) et une cinquantaine d’autres ouvrages. Cet homme infatigable est un des créateurs majeurs d’aujourd’hui.⁣
Les images, donc, ces leurres charmants et dangereux. La démonstration de leur fausseté s’accomplit selon de nombreux procédés. Chaque fois, le piège fonctionne : le regard est pris, l’incertitude gagne, les hypothèses prolifèrent sans que l’on soit plus sûr de rien. Chaque fois, le piège fonctionne : le regard est pris, l’incertitude gagne, les hypothèses prolifèrent sans que l’on soit plus sûr de rien.⁣
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« La Traversée des apparences » (1987), Alain Fleischer.⁣
Photos : Alain Fleischer.⁣
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2020/10/22

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