ルモンドさんのインスタグラム写真 - (ルモンドInstagram)「Un début de scolarité difficile, un collège où on le range chez les « nuls »… Quand Mickaël Blossier entre en classe de 3e dans une MFR (@maisonsfamilialesrurales), il y découvre le goût de l’effort, l’autonomie et le métier de forestier. La MFR « Les Forges », à La Ferté-Bernard, commune de 8 848 habitants dans la Sarthe, est une ancienne exploitation agricole, entourée d’un sentier botanique pédagogique. Pour Mickaël, c’est d’abord l’école de la vie. La MFR ne se résume pas à un maussade 8 heures-17 heures à attendre la sonnerie. D’ailleurs, il n’y a pas de sonnerie. On apprend plutôt l’autonomie : aux Forges, on dort et on dîne, sur place ; on cultive le goût de l’effort. Il quittera cette école hors norme des métiers de la nature et de la forêt à 17 ans, bac pro en gestion et conduite de chantiers forestiers en poche. A 23 ans, le voilà ténor de la sylviculture. Avec 71 places pour 800 inscrits, Mickaël a réussi le concours de l’Office national des forêts du premier coup. - Mickaël Blossier, dans la forêt de domaniale de Larfeuil, le 21 mai. Photo : Marielsa Niels (@marielsaniels) / Hans Lucas (@studiohanslucas) #PourLeMonde」8月14日 3時59分 - lemondefr

ルモンドのインスタグラム(lemondefr) - 8月14日 03時59分


Un début de scolarité difficile, un collège où on le range chez les « nuls »… Quand Mickaël Blossier entre en classe de 3e dans une MFR (@maisonsfamilialesrurales), il y découvre le goût de l’effort, l’autonomie et le métier de forestier.
La MFR « Les Forges », à La Ferté-Bernard, commune de 8 848 habitants dans la Sarthe, est une ancienne exploitation agricole, entourée d’un sentier botanique pédagogique. Pour Mickaël, c’est d’abord l’école de la vie. La MFR ne se résume pas à un maussade 8 heures-17 heures à attendre la sonnerie. D’ailleurs, il n’y a pas de sonnerie. On apprend plutôt l’autonomie : aux Forges, on dort et on dîne, sur place ; on cultive le goût de l’effort. Il quittera cette école hors norme des métiers de la nature et de la forêt à 17 ans, bac pro en gestion et conduite de chantiers forestiers en poche. A 23 ans, le voilà ténor de la sylviculture. Avec 71 places pour 800 inscrits, Mickaël a réussi le concours de l’Office national des forêts du premier coup.
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Mickaël Blossier, dans la forêt de domaniale de Larfeuil, le 21 mai. Photo : Marielsa Niels (@marielsaniels) / Hans Lucas (@studiohanslucas) #PourLeMonde


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2019/8/14

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