A l’Institut Mohammed VI de Rabat, 1 400 élèves sont formés pour devenir les futurs cadres du culte musulman sunnite du Maroc, de l’Afrique de l’Ouest. Et de la France. Ils sont soixante-sept étudiants venus de l’hexagone pour obtenir un diplôme d’imam professionnel à l’Institut Mohammed VI de Rabat. La première promotion – dix-neuf élèves – est attendue pour le mois de décembre. 1/5 Des élèves devant la mosquée de l’institut Mohammed VI de Rabat. 2/5 Au milieu des élèves marocains, maliens, nigérians ou ivoiriens de l’Institut Mohammed VI, Morgan Callet, 30 ans, a laissé son travail, sa femme et ses deux enfants à Avion, dans le Pas-de-Calais, pour apprendre à être imam en trois ans. « Je veux me former ici et revenir en France pour transmettre l’esprit de l’islam tolérant et apaisé aux musulmans de mon pays », raconte ce Français converti à l’islam, arrivé en janvier 2016 à Rabat. 3/5 Iyoub, un élève venu de Perpignan. Parmi les critères de sélection, la maîtrise de l’arabe et la connaissance du Coran ne sont pas exigées, seuls le baccalauréat et la nationalité française sont obligatoires. 4/5 Pietro Roberto, 24 ans, souhaite devenir entrepreneur et prêcher bénévolement dans une mosquée à Lyon, sa ville natale. En France, les conditions précaires des imams rendent la profession de moins en moins attractive. « La religion est une histoire d’amour mais je ne peux pas en faire mon métier », regrette-t-il. 5/5 Morgan (à droite) et Iyoub (à gauche) font partie des 67 étudiants venus de l’hexagone pour obtenir un diplôme d’imam professionnel et, pour les dix Françaises présentes, de morchidate (prédicatrice). - Photos : Yoriyas Yassine Alaoui #PourleMonde - Lire notre article : https ://lemde.fr/2S9ac9n - #Islam #France #Maroc

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ルモンドのインスタグラム(lemondefr) - 12月26日 23時50分


A l’Institut Mohammed VI de Rabat, 1 400 élèves sont formés pour devenir les futurs cadres du culte musulman sunnite du Maroc, de l’Afrique de l’Ouest. Et de la France. Ils sont soixante-sept étudiants venus de l’hexagone pour obtenir un diplôme d’imam professionnel à l’Institut Mohammed VI de Rabat. La première promotion – dix-neuf élèves – est attendue pour le mois de décembre.

1/5 Des élèves devant la mosquée de l’institut Mohammed VI de Rabat.

2/5 Au milieu des élèves marocains, maliens, nigérians ou ivoiriens de l’Institut Mohammed VI, Morgan Callet, 30 ans, a laissé son travail, sa femme et ses deux enfants à Avion, dans le Pas-de-Calais, pour apprendre à être imam en trois ans. « Je veux me former ici et revenir en France pour transmettre l’esprit de l’islam tolérant et apaisé aux musulmans de mon pays », raconte ce Français converti à l’islam, arrivé en janvier 2016 à Rabat.

3/5 Iyoub, un élève venu de Perpignan. Parmi les critères de sélection, la maîtrise de l’arabe et la connaissance du Coran ne sont pas exigées, seuls le baccalauréat et la nationalité française sont obligatoires.

4/5 Pietro Roberto, 24 ans, souhaite devenir entrepreneur et prêcher bénévolement dans une mosquée à Lyon, sa ville natale. En France, les conditions précaires des imams rendent la profession de moins en moins attractive. « La religion est une histoire d’amour mais je ne peux pas en faire mon métier », regrette-t-il.

5/5 Morgan (à droite) et Iyoub (à gauche) font partie des 67 étudiants venus de l’hexagone pour obtenir un diplôme d’imam professionnel et, pour les dix Françaises présentes, de morchidate (prédicatrice).
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Photos : Yoriyas Yassine Alaoui #PourleMonde
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2018/12/26

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