Dans cette école de près de 240 élèves, les parents n’ont pas attendu le projet de loi sur l’agriculture et l’alimentation, adopté définitivement le 2 octobre, pour favoriser l’apport de « produits issus de l’agriculture biologique ou tenant compte de la préservation de l’environnement ». En passant en autogestion, une association de parents d'élèves voulait maintenir le bio dans les repas, mais avant tout privilégier la qualité des aliments. Avec comme défi de ne pas augmenter le prix du repas. Le chef gérant la cuisine passe ses commandes de produits frais en direct chez six producteurs du canton pour préparer les repas des enfants de l’école. - 1/6 : Dans la cantine de l'école, Virginie Siena, 46 ans, a été auxiliaire de vie scolaire dans cette école, ses trois enfants l'ont fréquentée. 2/6 : Olivier Millant fournit en pain l'école de Sourcieux, il s'est reconverti il y a quelques années et est passionné par son nouveau métier malgré des contraintes horaires épuisantes. 3/6 : Denis Carret, l’un des trois associés de la ferme de Chassignol. Les commandes de la cantine représentent environ 5 % du chiffre d’affaires. 4/6 : A la Fromagerie Levynoise, située à Fleurieux-sur-l’Arbresle, à 5 km de Sourcieux-les-Mines, Christian Girardon, 51 ans, trait les vaches le soir, et sa femme Aurore prépare les produits laitiers le lendemain matin. 5/6 : Patrice Michalon, 41 ans, le chef gérant de la cuisine scolaire, a travaillé douze ans à la tête d’un restaurant lyonnais, puis trois ans dans les cuisines de Sanofi. 6/6 : « Les repas sont meilleurs, donc les enfants mangent davantage et jettent moins », remarque Nathaelle, agente territoriale spécialisée des écoles maternelles depuis plus de dix ans à l’école de Sourcieux-les-Mines. - Photo : Hugo Ribes / Collecti ITEM #PourLeMonde Lire notre article : https://lemde.fr/2Cp6dzR Voir le portfolio : https://bit.ly/2rMcBes - #Cantine #Bio #CircuitCourt #Association

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ルモンドのインスタグラム(lemondefr) - 12月21日 05時56分


Dans cette école de près de 240 élèves, les parents n’ont pas attendu le projet de loi sur l’agriculture et l’alimentation, adopté définitivement le 2 octobre, pour favoriser l’apport de « produits issus de l’agriculture biologique ou tenant compte de la préservation de l’environnement ». En passant en autogestion, une association de parents d'élèves voulait maintenir le bio dans les repas, mais avant tout privilégier la qualité des aliments. Avec comme défi de ne pas augmenter le prix du repas. Le chef gérant la cuisine passe ses commandes de produits frais en direct chez six producteurs du canton pour préparer les repas des enfants de l’école.
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1/6 : Dans la cantine de l'école, Virginie Siena, 46 ans, a été auxiliaire de vie scolaire dans cette école, ses trois enfants l'ont fréquentée.

2/6 : Olivier Millant fournit en pain l'école de Sourcieux, il s'est reconverti il y a quelques années et est passionné par son nouveau métier malgré des contraintes horaires épuisantes.

3/6 : Denis Carret, l’un des trois associés de la ferme de Chassignol. Les commandes de la cantine représentent environ 5 % du chiffre d’affaires.

4/6 : A la Fromagerie Levynoise, située à Fleurieux-sur-l’Arbresle, à 5 km de Sourcieux-les-Mines, Christian Girardon, 51 ans, trait les vaches le soir, et sa femme Aurore prépare les produits laitiers le lendemain matin.

5/6 : Patrice Michalon, 41 ans, le chef gérant de la cuisine scolaire, a travaillé douze ans à la tête d’un restaurant lyonnais, puis trois ans dans les cuisines de Sanofi.

6/6 : « Les repas sont meilleurs, donc les enfants mangent davantage et jettent moins », remarque Nathaelle, agente territoriale spécialisée des écoles maternelles depuis plus de dix ans à l’école de Sourcieux-les-Mines.
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Photo : Hugo Ribes / Collecti ITEM #PourLeMonde
Lire notre article : https://lemde.fr/2Cp6dzR
Voir le portfolio : https://bit.ly/2rMcBes
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#Cantine #Bio #CircuitCourt #Association


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2018/12/21

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