ルモンドさんのインスタグラム写真 - (ルモンドInstagram)「En première ligne face à la deuxième vague de l’épidémie, les généralistes témoignent d’une meilleure articulation entre la médecine de ville et le système hospitalier. « La règle en mars-avril, c’était “tous à l’hôpital”. La grosse différence, c’est qu’aujourd’hui on prend beaucoup plus en charge les patients, et pour la majorité d’entre eux ça se passe bien, on n’en fait hospitaliser que 3 % », relève Jacques Battistoni, président de MG France, le premier syndicat de généralistes.⁣ Au début de l’épidémie, le dépistage avait été pratiqué à petite échelle dans la population, en raison d’écueils techniques et logistiques. « Cette fois, on dispose de tests, on a donc la possibilité de faire la part entre les patients réellement malades et ceux qui présentent des symptômes », souligne le docteur Battistoni.⁣ La plupart des médecins généralistes interrogés observent qu’entre la première vague et le début de la deuxième, le profil de leurs patients positifs ou suspectés de l’être a évolué. A ce jour, ils reçoivent, dans leurs cabinets, en majorité des personnes peu symptomatiques, souvent passées sous le radar lors de la première vague, faute d’accessibilité aux tests.⁣ -⁣ 1 : Le Dr Stephane Sibton accueil les patients au cabinet.⁣ 2 : Les trois distributeurs de tickets pour l'attente dans le cabinet médical. Chaque couleur correspond à un médecin.⁣ 3 : Le dispositif mis en place pour faire respecter la distanciation sociale dans la salle d'attente du cabinet.⁣ 4 : Les généralistes du cabinet médical situé dans le 19e arrondissement de Paris, le 6 novembre.⁣ Photos : Valerio Vincenzo (@valerio_vincenzo) #PourLeMonde⁣ -⁣ #france #sante #societe #medecin #covid」11月10日 3時50分 - lemondefr

ルモンドのインスタグラム(lemondefr) - 11月10日 03時50分


En première ligne face à la deuxième vague de l’épidémie, les généralistes témoignent d’une meilleure articulation entre la médecine de ville et le système hospitalier. « La règle en mars-avril, c’était “tous à l’hôpital”. La grosse différence, c’est qu’aujourd’hui on prend beaucoup plus en charge les patients, et pour la majorité d’entre eux ça se passe bien, on n’en fait hospitaliser que 3 % », relève Jacques Battistoni, président de MG France, le premier syndicat de généralistes.⁣
Au début de l’épidémie, le dépistage avait été pratiqué à petite échelle dans la population, en raison d’écueils techniques et logistiques. « Cette fois, on dispose de tests, on a donc la possibilité de faire la part entre les patients réellement malades et ceux qui présentent des symptômes », souligne le docteur Battistoni.⁣
La plupart des médecins généralistes interrogés observent qu’entre la première vague et le début de la deuxième, le profil de leurs patients positifs ou suspectés de l’être a évolué. A ce jour, ils reçoivent, dans leurs cabinets, en majorité des personnes peu symptomatiques, souvent passées sous le radar lors de la première vague, faute d’accessibilité aux tests.⁣
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1 : Le Dr Stephane Sibton accueil les patients au cabinet.⁣
2 : Les trois distributeurs de tickets pour l'attente dans le cabinet médical. Chaque couleur correspond à un médecin.⁣
3 : Le dispositif mis en place pour faire respecter la distanciation sociale dans la salle d'attente du cabinet.⁣
4 : Les généralistes du cabinet médical situé dans le 19e arrondissement de Paris, le 6 novembre.⁣
Photos : Valerio Vincenzo (@valerio_vincenzo) #PourLeMonde⁣
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2020/11/10

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