ルモンドのインスタグラム(lemondefr) - 11月10日 03時50分
En première ligne face à la deuxième vague de l’épidémie, les généralistes témoignent d’une meilleure articulation entre la médecine de ville et le système hospitalier. « La règle en mars-avril, c’était “tous à l’hôpital”. La grosse différence, c’est qu’aujourd’hui on prend beaucoup plus en charge les patients, et pour la majorité d’entre eux ça se passe bien, on n’en fait hospitaliser que 3 % », relève Jacques Battistoni, président de MG France, le premier syndicat de généralistes.
Au début de l’épidémie, le dépistage avait été pratiqué à petite échelle dans la population, en raison d’écueils techniques et logistiques. « Cette fois, on dispose de tests, on a donc la possibilité de faire la part entre les patients réellement malades et ceux qui présentent des symptômes », souligne le docteur Battistoni.
La plupart des médecins généralistes interrogés observent qu’entre la première vague et le début de la deuxième, le profil de leurs patients positifs ou suspectés de l’être a évolué. A ce jour, ils reçoivent, dans leurs cabinets, en majorité des personnes peu symptomatiques, souvent passées sous le radar lors de la première vague, faute d’accessibilité aux tests.
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1 : Le Dr Stephane Sibton accueil les patients au cabinet.
2 : Les trois distributeurs de tickets pour l'attente dans le cabinet médical. Chaque couleur correspond à un médecin.
3 : Le dispositif mis en place pour faire respecter la distanciation sociale dans la salle d'attente du cabinet.
4 : Les généralistes du cabinet médical situé dans le 19e arrondissement de Paris, le 6 novembre.
Photos : Valerio Vincenzo (@valerio_vincenzo) #PourLeMonde
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2020/11/10