ルモンドさんのインスタグラム写真 - (ルモンドInstagram)「Investies sur le terrain depuis des années, les ONG locales ont été parmi les premières à répondre à l’urgence humanitaire à Beyrouth, en même temps que des Libanais, de façon individuelle et spontanée, retroussaient leurs manches pour déblayer gravats et verre ou distribuer des repas aux sinistrés. « Le Liban est le pays le plus riche en ONG locales par habitant », dit Kamel Mehanna, président de l’association Amel, active dans la santé, et coordinateur du collectif d’ONG libanaises. Sur un parking de la Quarantaine, un quartier attenant au port, une équipe médicale d’Amel reçoit dans une clinique mobile des blessés venus vérifier des points de suture, des malades chroniques en quête de médicaments qu’ils ne peuvent plus se procurer.⁣⁣ Plus de quinze jours après la double explosion, « on n’est plus dans la première urgence, mais dans une transition vers une action plus pérenne », explique une humanitaire. Mais la coordination manque encore : dans une autre partie de la Quarantaine, près du jardin public, diverses ONG distribuent de la nourriture, selon leurs listes. Des disputes éclatent, certains habitants se sentant lésés. « On ne comprend pas qui fait quoi », regrette un acteur associatif.⁣⁣ -⁣⁣ Un homme se fait soigner dans une clinique mobile de l’ONG Amel, sur un parking du quartier de la Quarantaine, à Beyrouth, le 9 août. Photo : Dalia Khamissy (@daliakhamissy) #PourLeMonde⁣⁣ -⁣⁣ #Beyrouth #Liban #Explosion」8月25日 22時42分 - lemondefr

ルモンドのインスタグラム(lemondefr) - 8月25日 22時42分


Investies sur le terrain depuis des années, les ONG locales ont été parmi les premières à répondre à l’urgence humanitaire à Beyrouth, en même temps que des Libanais, de façon individuelle et spontanée, retroussaient leurs manches pour déblayer gravats et verre ou distribuer des repas aux sinistrés. « Le Liban est le pays le plus riche en ONG locales par habitant », dit Kamel Mehanna, président de l’association Amel, active dans la santé, et coordinateur du collectif d’ONG libanaises. Sur un parking de la Quarantaine, un quartier attenant au port, une équipe médicale d’Amel reçoit dans une clinique mobile des blessés venus vérifier des points de suture, des malades chroniques en quête de médicaments qu’ils ne peuvent plus se procurer.⁣⁣
Plus de quinze jours après la double explosion, « on n’est plus dans la première urgence, mais dans une transition vers une action plus pérenne », explique une humanitaire. Mais la coordination manque encore : dans une autre partie de la Quarantaine, près du jardin public, diverses ONG distribuent de la nourriture, selon leurs listes. Des disputes éclatent, certains habitants se sentant lésés. « On ne comprend pas qui fait quoi », regrette un acteur associatif.⁣⁣
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Un homme se fait soigner dans une clinique mobile de l’ONG Amel, sur un parking du quartier de la Quarantaine, à Beyrouth, le 9 août. Photo : Dalia Khamissy (@daliakhamissy) #PourLeMonde⁣⁣
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#Beyrouth #Liban #Explosion


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2020/8/25

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