La bande de Gaza - deux millions d’habitants - est généralement associée à des phénomènes lugubres comme la violence ou la crise humanitaire aigüe. Mais la vie dans le territoire palestinien enclavé est aussi rythmé par des rites, comme celui du mariage, qui représentent de grands moments de sociabilité. L’importance de l’union est telle qu’elle pousse de jeunes couples, sans moyens, à s’endetter auprès d’associations spécialisées. Au risque de la prison. 1/ 4 Les hommes font la fête lors de la cérémonie de mariage de deux frères d’une famille palestinienne à El Bureij, le 6 novembre 2018. 2/4 Samah Abou Shawash pose au milieu de robes de mariées dans le magasin dont elle est la propriétaire, dans le camp de réfugiés de Deir el Bala le 6 novembre 2018. Avant la crise elle vendait de nombreuses robes, mais depuis plusieurs mois les clients se font rares et les robes sont louées et non plus achetées. 3/4 La famille Al Bohisi pose dans leur appartement vide du camp de réfugiés de Deir el bala le 6 novembre 2018. A la suite au mariage du fils ainé Mahmoud (Centre, bonnet noir), ils se sont lourdement endétés après avoir fait appel à une agence de prêt et ne peuvent pas rembourser les frais du mariage. Ils ont dû quasiment vendre tous leurs biens et vivent dans un appartement vide à l’exception de la chambre des jeunes mariés. 4/4 Reproduction d’une photo de mariage de Mahmoud Al Bohissi et de sa femme Maram. Photos : @thomascoex /@ afpphoto #PourLeMonde #Gaza #Mariage #Societe

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ルモンドのインスタグラム(lemondefr) - 12月1日 20時30分


La bande de Gaza - deux millions d’habitants - est généralement associée à des phénomènes lugubres comme la violence ou la crise humanitaire aigüe. Mais la vie dans le territoire palestinien enclavé est aussi rythmé par des rites, comme celui du mariage, qui représentent de grands moments de sociabilité. L’importance de l’union est telle qu’elle pousse de jeunes couples, sans moyens, à s’endetter auprès d’associations spécialisées. Au risque de la prison.

1/ 4 Les hommes font la fête lors de la cérémonie de mariage de deux frères d’une famille palestinienne à El Bureij, le 6 novembre 2018.

2/4 Samah Abou Shawash pose au milieu de robes de mariées dans le magasin dont elle est la propriétaire, dans le camp de réfugiés de Deir el Bala le 6 novembre 2018. Avant la crise elle vendait de nombreuses robes, mais depuis plusieurs mois les clients se font rares et les robes sont louées et non plus achetées.

3/4 La famille Al Bohisi pose dans leur appartement vide du camp de réfugiés de Deir el bala le 6 novembre 2018. A la suite au mariage du fils ainé Mahmoud (Centre, bonnet noir), ils se sont lourdement endétés après avoir fait appel à une agence de prêt et ne peuvent pas rembourser les frais du mariage. Ils ont dû quasiment vendre tous leurs biens et vivent dans un appartement vide à l’exception de la chambre des jeunes mariés.

4/4 Reproduction d’une photo de mariage de Mahmoud Al Bohissi et de sa femme Maram.

Photos : @thomascoex /@ afpphoto #PourLeMonde

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2018/12/1

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