ルモンドのインスタグラム(lemondefr) - 10月16日 02時48分

Jennifer Flay, au jardin des Tuileries à Paris, devant l’œuvre de Thomas Schütte, « Mann im Wind, Nr. 2 » (Galerie Pietro Spartà), le 8 octobre.
Depuis près de quinze ans, Jennifer Flay est à la FIAC ce que Gilles Jacob fut pendant quarante ans au Festival de Cannes : le visage d’un événement très français et follement international à la fois, professionnel et glamour. En deux septennats, cette Néo-Zélandaise francophone de 59 ans, a hissé l’événement dont elle est la directrice sur le podium des grandes foires d’art contemporain. Si la nouvelle édition, qui ouvre ses portes le 18 octobre, aligne un parterre de 193 exposants parmi les plus puissants, pointus ou branchés du moment, rien n’était gagné lorsque Jennifer Flay a pris, en 2003, les rênes du salon. La FIAC, qui avait connu de riches heures dans les années 1970 au Grand Palais, était alors au plus mal.
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Photo : Manuel Braun (@manuel_braun_photographe) #PourLeMonde
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