ルモンドのインスタグラム(lemondefr) - 7月3日 03時09分

Défiant la politique de « tolérance zéro » de Donald Trump, des familles d’Amérique centrale ou des Caraïbes continuent de traverser le Rio Grande à la recherche d’une vie meilleure.
À McAllen, ville frontière du Texas, la photographe Andrea Morales a rencontré les familles, souvent très jeunes, partagées entre la fatigue d’un interminable voyage et l’espoir d’une liberté précaire. --
1/3 : Cette femme du Honduras a quitté son pays avec sa fille et son neveu. Après un périple de plusieurs semaines, elle s’est présentée aux autorités américaines qui lui ont posé un bracelet électronique. L’organisation caritative Catholic Charities l’a aidée à obtenir un billet de bus pour le Maryland, où elle va retrouver sa famille. À McAllen, au Texas, le 26 juin.
2/3 : Walter (à gauche) et Adony (à droite), des migrants honduriens attendent du côté mexicain du pont Brownsville-Matamoros. Walter a mis plus de quatre mois a atteindre la frontière avec sa femme et ses quatre enfants. Il dit qu’il veut faire sa demande d’asile dans les règles, mais cela fait déjà quatre jours qu’il attend avec peu de certitudes, le 27 juin.
3/3 : Un bateau du service américain des douanes et de la protection des frontières passe sur le Rio Grande, qui sépare les deux pays, le 27 juin.
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Photographie : @_andrea_morales #PourLeMonde
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