ルモンドのインスタグラム(lemondefr) - 4月20日 02時08分

Nous sommes à Palo Alto, au cœur de la Silicon Valley. Chez Wahlburgers, Judy goûte la dernière nouveauté, l’Impossible Burger. Entre les deux buns, pas de bœuf mais un steak high-tech, à base de protéines de blé et de pomme de terre, de noix de coco… et de « sang » de synthèse.
La start-up Impossible Foods a lancé l’Impossible Burger en 2016. Il s’en est déjà écoulé 1,3 million en 2017, et 2,5 millions depuis le début de l’année. Il n’est pas seul : depuis quelques années, une myriade de jeunes pousses ont investi le créneau de la « clean meat » (« viande propre »). Elles ont déjà levé près de 1,5 milliard de dollars (1,2 milliard d’euros) auprès d’investisseurs comme Google ou Bill Gates, mais aussi de géants de l’agroalimentaire.
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1/5 : Présentation promotionnelle d’un burger sans viande au siège de la compagnie Impossible Food, à Redwood City, en Californie, le 4 avril.
2/5 : Dans le laboratoire de « Impossible Foods ».
3/5 : Le PDG, Pat Brown, au siège de sa société.
4/5 : Une terrine sans viande testée dans les cuisines de la société.
5/5 : Les « Impossible Meatballs », dans les cuisines de la compagnie.
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Photographie : Cayce Clifford (@cayceclifford) pour M le magazine du Monde (@m_magazine)
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Lire notre article : https://lemde.fr/2HxlTV7
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